jeudi 27 mai 2010

Thriller version Final Fantasy

Et voilà comment relever le niveau d'un film avec les bonus. Final Fantasy : les créatures de l'esprits, autant mauvais soit-il, nous offre ici un bel exemple de déconnade et de non prise de tête.




Pour une fois je n'ai même pas envi de commenter, je vous laisse regarder !!

mercredi 26 mai 2010

La fièvre des points : round 3

Le concours avance mais ce ne sont que des membres de l'équipe qui participent, allez les internautes on vous attends ! Jouez et venez participer avec nous dans une émission de votre choix !! Enfin il faut gagner pour cela ^^

Alors voici la 3ème question de ce fameux jeu, et comme d'habitude tout les réponse sont sur notre site : comment s'appelle le héros du tout 1er Suikoden ?

J'attends avec impatience vos réponse pour une question on ne peut plus facile à trouver !
Bonne chance et à très vite !

Secret of mana 18/20




Bonjour à tous et a toutes, aujourd'hui un test très difficile (surtout pour rester objectif sans tomber dans l'adoration pur et simple). Il s'agit d'un jeu sorti sur Super Nintendo en 1993 au japon et au Etats-Unis aussi avec quelque mois d'écart et enfin le 24 novembre  1994 en Europe. De quoi s'agit-il ? Secret of Mana bien sur ! Comment introduire un tel chef d'œuvre ? Je pense que le texte d'ouverture du jeu donnera l'ambiance : «  Alors que la force mana décline, l'obscurité tombe sur le pays tourmenté... Le peuple attend le héros qui brandira l'épée... Excalibur, Durandal, Gigas, cette lame porte moult noms car au fil des lustres, la légende et les mythes n'ont cessé de la glorifier. De fait cette arme est une et unique, c'est l'épée mana. » Vous voilà prêt à plonger dans un univers qui vous marquera quasi certainement, peut être même a vie... Que le test commence.

A ceux qui ne parlent que des moteurs 3D, d'anti-aliasing et de haute résolution, désolé, vous pouvez passer votre chemin. Pour nous petit européen, nous sommes en 1994, la console est la Super Nintendo est cela donne sur nos télévision cathodique de l'époque un jeu en 512 X 448 avec au mieux 256 couleurs, donc du pixel on peut en voir, mais quel charme. Le jeu commence sur un fond noir où apparaît le logo de Nintendo, vient ensuite le titre en jaune et derrière apparaît une bande de décors a la façon d'un film en 16/10. L'image remonte nous laissant apercevoir trois personnages, l'image s'agrandit et nous laisse voir les héros devant l'arbre mana et quelque oiseau voler de la droite vers la gauche de l'écran. Les couleurs semblent agréable, le menu de départ bien lisible avec en fond une luxuriante forêt lointaine. Très vite après avoir commencé le jeu, on a la première scène en Mod 7 (super Nintendo power !) montrant brièvement une partie de la surface de la planète. On retrouvera cette vue lors de tout les voyages avec les canons (le plus dur c'est d'atterrir) ou quand on se baladera sur un dragon blanc répondant au doux nom de Flammy. Le Mod 7 peut sembler assez moche de nos jours, mais il est réalisé avec soin, l'animation est fluide et rapide, rien à redire. Pour le visuel de manière plus générale maintenant... Les décors sont assez recherchés et variés. Vous allez parcourir d'immenses plaines traversées par quelques cours d'eau, où vous pourrez à loisir couper l'herbe qui se balance poétiquement au grès du vent avant de passer derrière une cascade. Encore une fois, l'animation est impeccable. Viens l'exploration de grotte profondes où l'on dégage les rochers empêchant la progression à grand coup de hache, s'en suis une forêt ensorcelée recouverte de brume, d'autres soumise aux différentes saison... On visitera aussi des temples, des villes et villages et bien entendu des donjons sans oublier un désert ainsi d'un glacier. Bref vous l'aurez compris, un univers riche (ville, château et donjon très bien réalisé). Et les combats dans tout ça ? Ils ressortent très bien, les techniques spéciales des différentes armes sont très agréable a regarder et les magies encore plus (surtout une fois au level 8,99 où l'on a droit régulièrement à une version spéciale de celle ci). Les ennemis quand a eux se fondent bien dans le tout et avec logique des gardes pour un château ? Ha bon ?) Et les boss sont d'une bonne taille dans l’ensemble, en particulier trois qui prendront la quasi totalité de l'écran... De très rare bug graphiques peuvent parfois subvenir (une disparition éphémère d'ombre ou encore d'un ennemis ou élément du décor) mais rien qui nuis au déroulement du jeu.





Image 1 : le fameux mod 7


Image 2 : Le menu bien pratique


Image 3 : La patte graphique est bien visible






Les héros répondent au doigt et à l’œil à la croix directionnelle (et oui pas de joystick ^^), il faut savoir que l'on peut même y jouer jusqu'à 3, chacun contrôlant un des personnages (un des premiers jeux à avoir proposé cela si je ne me trompe pas). Les attaques, charger les techniques, parler sur la même touche (B), la touche (A) pour courir , (Y) pour ouvrir le menu du personnage contrôlé et (X) pour les menu des alliés. La touche select permet de changer de héros en solo, pour ce qui est de start (L) et (R) celle ci sont moins utilisées. Le tout est très naturel. Les barres de vie situés au bas de l'écran sont lisibles et servent a affiché la puissance des attaques armées, en effet une jauge avec un pourcentage se recharge après chaque coup porté. On arrive à la partie la plus intéressante avec les menus du jeu, ils sont centrés sur celui concerné et sont constitués de 4 « anneaux » : Un menu pour les armes qui sont au nombre de huit (indication de la puissance de chacune). Un pour les objets courant tels les soins (bonbon, chocolat, miel...) ainsi que quatre accessoires pratique qui sont la ceinture mimi (annule transformation mimi), le marteau (annule le changement en mini), la corde magique (quitter un donjon instantanément) et surtout « LE » tambour Flammy. Un menu pour les magies (disponible pour la fille et l'elfe qui sont les seuls à s'en servir). Et un menu pour les équipements (armures, casques...), la gestion du comportement des équipiers en solo (plutôt agressif ou défensif), en suivant les cases d'un échiquier, les fenêtres d'affichage du texte personnalisable, changer l'attribution des touches, et sans oublier les statistiques de chacun. On passe  d'un anneau à l'autre avec la croix vers le haut ou le bas et on fait défiler les éléments toujours avec la croix vers la gauche ou la droite. C'est assez simple d'utilisation et rapide. Les armes au nombre de huit donc ont pour certaine des fonctions bien précises, la ou épée et hache enlèvent l'herbe devant soit, la hache brise les blocs de pierre, et le fouet permet au groupe de franchir ravins et précipices. Enfin trois d'entre elle sont des armes de longue distance avec l'arc, le boomerang, et le javelot. Les magies sont réparties entre la fille et l'elfe : les défensives, les enchantements d'armes & soin pour la fille, et les attaques directes et effets négatif pour l'elfe. Elles sont au nombre de 24. Je m'explique, il y a huit élément représenté chacun par un esprit (eau, terre, vent, feu, ombre, lumière, lune, mana) et chaque esprit propose trois sortilèges. L'affichage est très clair avec des icônes assez explicites, on n'est à aucun moment perdu.

Voilà la partie la plus dure à vous décrire sans vous la faire entendre (attention internet c'est magique vous allez voir ^^). On doit la musique à Hiroki Kikuta, un compositeur Square qui ne fera que Secret of Mana (Seiken2) et Seiken Densetsu 3 (et oui je ne vous en ai pas parlé avant mais Secret of Mana et pour les japonais le deuxième volet du genre, le premier que nous connaissons chez nous est sur gameboy il s'agit de « Mystic quest », quand au troisième est bien il n'est jamais sorti en Europe hélas car il est encore plus aboutit que les deux précédents). La bande son est un pur enchantement, les mélodies nous  transporte totalement dans l'univers coloré que l'on a sous nos yeux. Mélancolique par moment, d'intenses et presque rock (attention il s'agit de son midi ^^) pour les boss. Si je devais résumer les musiques, je dirais juste DIVIN. Quand aux bruitages du jeu nous les devons à la même personne qui a travaillé sur le célèbre « Chono trigger », eux aussi sont tout bonnement excellent, on peut les entendre des centaines de fois sans jamais s'en lasser.

Quant au scénario, cette partie est énorme, on part d'une histoire de fantaisie assez banale : un conflit entre une civilisation grandissante, dont la progression et l'évolution va aller jusqu'à défier les dieux. Manque de bol, les dieux n'aiment pas ça, s'en suis une guerre et un déclin et bizarrement cela à tendance à se répéter. Le groupe que l'on contrôle sera composé de trois personnages au background intéressant et attachant dont la destinée sera bien grande pour leurs épaules. Nos héros vont croiser énormément d'autres protagonistes à ne pas négliger, tel un forgeron qui les suivra dans leur aventure, un chat marchand itinérant, chef de résistance ou encore un empereur et ses généraux... Du coup on sera impliqué dans des conflits et histoires diverses, il y aura des passages extrêmement festif, tout comme des moments qui arracheront quelques larmes aux plus sensibles parmi vous. Tout ceci s'enchaine sans longueur ni incohérence, ça coule de source, d'où un attachement particulier a l'épopée et aux aventuriers. En revanche pas de quête secondaire, toute l'action du jeu se déroule selon le scénario principal de l'histoire, mais il est de grande qualité, quelques rebondissements intéressants et surprises sont au rendez vous. Enfin pour conclure sur l'histoire de ce jeu, il ne s'agit pas d'une suite de « Mystic Quest » et il n'aura pas de suite directe, Seiken Densetsu 3 ayant sa propre histoire indépendante de celle ci.

La quête en elle même pour les habitués du genre comme pour les novices peut tenir allègrement une trentaine d’heure même pour ceux qui ne trainent pas en chemin. Cela me semble honnête vu l'absence de quête secondaire. Elle est assez linéaire dans un sens mais pas trop tout de même, un petit vent de liberté et quelques façon alternative dans l'ordre de passage à certain endroit s'offre à nous à partir du moment où l'on peut chevaucher l'adorable Flammy. Ensuite la durée s'envole littéralement pour ceux qui comme moi aime faire un jeu a 100% voir 101%, si c'est possible ^^. L'obtention des meilleures armures demandera du temps vers la fin de celui ci de même que d'atteindre le niveau 99. Il en est de même pour maitriser les armes et les magies a leur plus haut niveau, cela donne accès a de très bonne techniques pour les armes qui pourront pour la plus part être forger jusqu'au rang 9 (pour cela il faudra pratiquement « farmer » a la façon des meuporg dans le fort mana jusqu'à obtenir des coffres qui une fois ouvert donne un encadrée sur le nom de l'objet complètement vide, en fait vous venez d'obtenir une sphère d'arme nécessaire pour la forge qui permet d'atteindre le rang 9 pour une des armes). Quand aux magies, le rang max et 8.99, cela donne des magies très puissantes mais aussi en bonus un visuel amélioré de celle ci avec le jeu qui s'arrête pendant que le sort est lancé. L'exemple le plus marquant sont les trois boules de feu lancer par Athanor qui se transforme alors en trois dragons de feu dansant autour de l'ennemis avant de se jeter sur lui pour le dévorer. Tout ceci fait que l'on reste encore et encore devant ce petit coin de paradis coincé dans le tube cathodique en face de nous bien plus longtemps encore (j'ai failli recommencer le jeu en faisant ce test).

Je vous conseille donc a tous et toutes qui auraient eu la patience de lire ce test jusqu'au bout de foncer sur Secret of Mana que vous l'ayez fait déjà ou non par tout les moyens possible...

 
LES + :

Graphismes et animations superbes qui collent à l'histoire, mod 7 excellent
Maniabilité et jouabilité rapide et intuitive, possibilité de jouer a 3
Musique divine et bruitage sensationnelle
Scénario prenant et personnages attachants
Durée de vie d'une trentaine d'heure pour les moins acharnés
Tout le point précédent donne une perle rare

LES - :

Une IA assez limité pour le contrôle des personnages secondaires en solo
Pas de quête secondaire
La première drogue vidéo-ludique pour les français avant les meuporg !




jeudi 20 mai 2010

Monster Hunter 3 17/20



Monster Hunter, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un peu le MMO de Capcom, sauf que se rapprochant d'un PSO. Donc il s’agit de chasser des monstres, wyverns, et autres dragons, avec l'aide de 3 autres chasseurs, en ligne et sans abonnement. (Contrairement au japon ^^). La série a vue le jour sur PS2 et a été portée avec succès sur PSP. La version wii reprend les fondamentaux des anciens épisodes mais le bestiaire et presque exclusivement composé de nouveaux monstres, donc pas de frustration pour les joueurs ayant dormit sur la version PSP qui se disait: ouch je vais devoir tout recommencer a zéro, trop long, dur, répétitif, pas envie! Alors, vieilles routines, nouveaux monstres; est ce que la sauce prend ? La réponse et OUI!

Une des particularités de MH est le fait que votre perso (crée des pieds à la tète) ne prend pas d'xp, pas de lvl up dansMH, la seul expérience que vous allez gagner et la connaissance des monstres, leurs habitudes, ou ils dorment, qu'est ce qu’ils mangent, et surtout quel sont leurs attaques comment les éviter et quant attaquer sans prendre trop de risques. Bien sur, vous n'allez pas aller chasser des dragons géants d'entrée de jeux, il va falloir commencer par des petites wyverns ressemblant à un raptor, puis un "poulet" géant et un gros lézard aquatique etc… Tous ayant leurs spécificités, attaque élémentaires et défense contre tel ou tel élément (eau, feux, foudre etc). A chaque monstre abattu, une récompense non pas en point d'expérience mais au bout du couteau ! En effet que ce soit un herbivore pacifique ou le plus hargneux des dragons, une fois la bête morte vous devez la dépecer, et en retiré tout ce qui peut être utile a votre carrière de chasseur, viande, os, peaux, cuir, dents, crocs, griffes, cornes, écaille, etc... Autant d'objets qui servent à faciliter de futures chasses et surtout à fabriquer les armes et armures qui feront de vous un chasseur craint... mais jamais respecté car les monstres n'on aucun respect ! Le manque de respect des monstres à l'égard des chasseurs n'à d'égal que la capacité de Capcom à torturer les joueurs, d'ou une intense satisfaction à la mort de chaque monstre ; la joie procurée par le dépeçage n'à d'égal que celle de découvrir quels équipements le fruit de votre chasse va vous permettre de créer! Foi de chasseur confirmé! Et avec un meilleur équipement la possibilité de chasser de plus gros monstres, de plus en plus gros, toujours... La jouabilité a la Wiimote reste un gadget, la manette classique étant un modèle de prise en main et le jeu n'ayant pas changé coté prise en main, les joueurs des anciennes versions ne seront pas perdu, et mieux on gagne un stick analogique pour la camera. La ferme à bien changé et comme le dit le petit vieux de cet épisode: « la ferme c'est bien, a condition de ne pas avoir à s'en occuper », bien dit le vieux ! Parmi les changements regrettables on peut noter la disparition de certain type d'armes, plus d'arc, d'épée double... Ainsi que l'absence de mine dans la ferme et finalement le manque de notre bien aimé bestiaire des anciennes versions, car plus il y a de monstres mieux c'est ! Mais les nouveaux monstres sont très réussis et apportent un bon renouveau à la série.


Image 1 : Le bestiaire, à prendre peur

Image 2 : le Baroth se roule dans la boue pour en faire une armure

Image 3 : Il y en a un qui va prendre un coup...







Voila pour la base, en ce qui concerne la réalisation, aucun reproche à faire, et même mieux, c'est un des plus beau et impressionnant jeux Wii qu'il m'est été donné de voir. Les différents environnements sont hauts en couleurs, foret, toundra, marais, volcan. Bien que peut nombreux ils offrent une assez grande diversité et contiennent souvent plusieurs sortes de terrain à arpenter, grottes, plaines, déserts, environnements aquatiques (une nouveauté de cet épisode), des monstres massif (certain gigantesque) et les plus petit peuvent ce retrouver en meute (plus de 10 monstres à l'écran ça donne un joyeux chaos ;)) et sans que cela ne rame. Les touts assortis d'animations fluides et d'effets spéciaux convainquant en font sans aucun doute un des meilleurs jeux Wii à l'heure actuel d'un point de vue strictement technique. Le tout accompagné de musique pour la plupart anodine, pas grand chose à siffloter sous la douche, mis a part le thème principal et certain thème assez drôle et dépaysant. Les bruitages quant à eux sont riches et les voix des perso mettent de l'ambiance parmi les grognements et couinement des monstres. Le chaos du combat et des armes que seul viendra couvrir le hurlement tonitruant d'un dragon. Mention spéciale graphique au volcan, Trop beau!! Il fait chaud là haut!! Et pour la musique: le thème du dernier monstre du solo ! Entre Akira et Ghost in the Shell (et la musique de fin)

Le mode de jeux solo est légèrement scénarisé et offre une bonne mise en bouche pour se faire la main et apprendre à appréhender les différent monstres et les techniques de chasse les plus adaptés ainsi qu'à glaner un minimum d'armes et armures avant de s'en prendre au cœur du jeux a savoir le multi en ligne à 4, là point de scenario mais des monstres plus fort plus hargneux avec plus de points de vie et une puissance de feux largement supérieure a ceux du mode solo. Cela dit il existe certaines créatures qui ne se trouve qu'en multi et le dernier monstre du solo est absent du multijoueur, alors pas question de faire l'impasse sur le mode solo! Même si, il faut bien l'avouer, le jeux online est le cœur de MH et promet de longues heures de chasses. De très longue heures même, sauf que pour un connaisseur des anciens épisodes, celui là manque gravement de contenu sur la durée, cela peut s'expliquer par le fait que presque tous les monstres sont nouveau, alors il ne reste plus qu'à espérer de grosses mise a jour pour le retour de vielles connaissance, ou au moins de nouvelles quêtes de niveaux supérieurs, et au mieux tout ça. A l'heure actuelle le jeu offre déjà une durée de vie plus que conséquente si vous contez obtenir de quoi fabriquer un stock d'armes et d'armures à faire peur à n'importe quel dragon. Prévoyez des mois de chasse intensive. Cela dit mon expérience personnelle fait que je dois dire que le mode réseau et largement perfectible Un bon point et qu'il ne nécessite pas d'utiliser les codes ami Wii, le jeu gère votre liste d'ami de Monster hunter, se faire des amis est un jeu d'enfant; un clavier et plus que conseillé, Wii speak étant à la limite de l'inutile pour communiquer correctement à travers les enceintes de la TV par dessus le fracas de la bataille... c'était à prévoir. Là où il est perfectible c'est au niveau de la stabilité des serveurs, en effet de nombreuses fois il est impossible de rejoindre une personne en particulier, ou même à peut prêt tout le monde ; et ça gâche beaucoup le plaisir de jeu. Mais quant ça marche, ça tourne bien, il y à rarement du lag.

La chasse à quatre c'est royal !

mercredi 19 mai 2010

Franck Jaeger et l'amour des Final Fantasy

Nous continuons notre petit tour de l'équipe et sommes à présent arrivé à un gros, très gros gamer. Et qui plus est, un gamer qui me ressemble vachement !Il aime les Final Fantasy, le VII plus particulièrement ; il aime la série MGS, je parle bien sur de Franck Jeager !

Un amour commun des bonnes choses de al vie de Gamer. Il nous fait aussi part de ses déceptions, Splinter Cell notamment ; Mais aussi d'un jeu, se véritable drogue, Battlefield Bad compagny 2.

Courte présentation pour un débat intense, je vous laisse apprécier

Bonne écoute



mardi 18 mai 2010

Les insolites : finir Super Mario Bros différement, c'est possible !





Certains diront "il n'ont vraiment que ça a faire !", alors que d'autre crieront "il est trop fort !". Cet antagonisme est le reflet du monde actuel et de la perception des jeux vidéo. Et si en plus, celui qui joue aux jeux vidéo le fait différemment, il est carrément exclu de la normalité de la race humaine. Rien d'étonnant qu'il y ai de moins en moins de fous vidéo ludiques !

En tout cas, il me semble bien que j'en est trouvé un ici ! Alors que tout le monde croyait que Super Mario Bros était un jeu vu et revu, voilà que ce cher monsieur révolutionne la manière d'y joué et se lande un nouveau défi ! Celui de finir le jeu avec un plateau de danse à la place du pad.

Assez marrant dans la forme, mais carrément époustouflant suant à la performance, voici un homme hors du commun spécialement pour vous !!

lundi 17 mai 2010

Indiana jones et le mystère de l'Atlantide 18/20



Le jeu est lancé : Ouais, trop cool je vais jouer à Indiana Jones ! Euh… Je dois chercher le soleil à la page 5 du Dialogue perdu de Platon, puis la lune… mais c’est quoi ça ? Ah c’est pour éviter le piratage >_<. Bon c’est fait on y va ! Indiana Jones et le mystère de l’Atlantide – Indiana Jones and the fate of Atlantis – est un jeu point & clic sorti en 1992 sur PC (sous DOS, avec les disquettes, C:/ATLANTIS/… et tout). C’est un jeu LucasArts (éditeur et développeur). Il était assez difficile de trouver le jeu qui n’est plus édité (LucasArts refusant toute idée d’abandonware) mais  depuis Juin dernier le jeu a été ajouté en bonus à Indiana Jones et le spectre des rois (il faut finir la partie 1 fois puis refaire 1 mission et là le jeu est accessible, j’avoue avoir acheté le jeu rien que pour pouvoir y rejouer. Qui plus est, je trouve que le contrôle du point & clic passe super bien avec la Wiimote.) Le jeu est aussi disponible en téléchargement depuis le Juillet 2009 sur la plateforme Steam (4,99$). Ce jeu est le premier jeu de la saga Indiana Jones dont le scénario n’est pas issu d’un des films.

Indy notre célèbre archéologue est au Barnett Collège et doit retrouver une mystérieuse statuette pour Marcus (il y serait bien allé mais il s’est déjà perdu dans son propre musée alors…) Dès le générique nous contrôlons Indy et découvrons certaines salles de la fac et redécouvrons le point & clic déjà choisi pour Indiana Jones et la dernière croisade. Une fois la statuette retrouvée direction le bureau d’Indy pour rejoindre Marcus et son client (très grand, très blond, avec un accent très prononcé…) qui semble très intéressé par notre statuette et son origine. Après une super cinématique et une belle bagarre l’énigmatique client de Marcus réussi à s’enfuir avec notre statuette en laissant derrière lui son passeport et là surprise c’est un Nazi ! Mais que cherche-t-il ? Cette statue est très ancienne très très ancienne, Indy se souvient l’avoir trouvé lors de fouille en Islande. Mais il ne se souvient pas vraiment, peut-être son ancienne assistante aura plus de souvenir et c’est à Broadway qu’il part pour retrouver la magnifique Sophia Hapgood (pour moi la meilleure de ses chéries, après moi bien-sûr !) devenue un célèbre médium. Sophia va apprendre à Indy ce que recherchent les Nazis : le pouvoir de l’Atlantide, toute la puissance du nucléaire sans aucune radioactivité ! Une course mondiale va se jouer pour être les premiers à trouver la citée perdue. Indy va retourner sur son ancien site de fouille en Islande avec Sophia, puis de Monte Carlo aux ruines de Cnossos, en mode équipe, solo ou action, les énigmes s’enchainent dans des décors splendides (les graphismes sont magnifiques pour l’époque) jusqu’à conduire le duo au cœur du mystère de l’Atlantide. 



 









Image 1 :  « Non Indy je ne le ferai pas ! Ne me POUSSE pas à le faire ! » Le message est clair…

Image 2 : A quelques occasions il est possible de contrôler Sophia (j’adore), ici la grande Sophia Hapgood en pleine séance de spiritisme.

Image 3 : Hemocraaâaate ! Ami de Sooôoocrate !





Je vous conseille vraiment ce jeu. L’histoire, l’ambiance, les musiques, les personnages tout est là ! Et presque 20ans après le jeu n’a pas pris une ride. Au niveau des graphismes le jeu n’a pas à rougir face aux jeux d’aujourd’hui, il est plein de couleurs et de détail. Il n’y a pas un seul bug ! (Est-ce le cas de tous nos jeux aujourd’hui ?) Les couleurs et les musiques créent des ambiances très agréables dans ce jeu. La durée de vie est assez longue, d’autant plus qu’il est possible de faire 3 mode de jeu différent : le mode équipe, le mode réflexion et le mode action. Le mode équipe se joue avec Sophia, vous devez résoudre à 2 les énigmes pour trouver l’Atlantide (mon mode préféré). Le mode réflexion, là les énigmes sont encore plus difficile et ne pouvez compter que sur vous-même, même Sophia semble vous abandonner. Enfin le mode Action, là c’est la baston : pourquoi se casser la tête quand on peut la leur casser ? Le système de combat avec le clavier reste pour moi un mystère… j’avoue je ne suis pas très douée pour la baston, alors je reste avec la souris et je clic frénétiquement sur les méchants ! Chaque mode a son propre scénario, et en plus des 3 modes de jeux les énigmes changent toujours d’une partie à l’autre (même les objets clés ne seront pas les même.) On peut faire et refaire le jeu sans se lasser !

Les +                                                                             Les -

-Le générique de début                                              -La difficulté du jeu parfois, souvent lié à
-Les dialogues génialissimes                                    à l’assemblage des objets ([« utiliser » A
-Les blagues cachées                                              « avec » B]  différent de [« utiliser » B « avec » A]),
-La difficulté                                                              c’est un peu à s’arracher les cheveux
-Les différents modes                                              -Le maniement de la montgolfière pas évident
-Les énigmes changent à chaque partie                     -Si seulement Indy avait un flingue...
-La liberté dans le jeu                                                 -Ah c’est difficile d’en trouver !!!
-La course poursuite en voiture dans les rues

de Monte Carlo
-Les musiques
-La mappe monde pour les voyage    


vendredi 14 mai 2010

Le débat des gamers : les consoles oubliés de l'histoire

Il y a certaines choses qui ne s'apprennent pas, et l'amour de jeu est une de ces choses là. Il faut bien savoir que, même pour un gamer, il y a des consoles qui nous sont totalement inconnus, et ça, on peut l'apprendre. C'est d'ailleurs le but de cette émission

En effet, nous passons en revu les consoles que la plupart des gens ne connaissent pas, depuis les consoles de commodore, jusqu'à la Jaguar, elles ont pourtant accueilli des bombes vidéoludiques.

Bien évidemment, c'est par des "spécialistes" que tout cela va vous être expliquer. Mais pour une fois, nous sommes tranquilles, seul Mouchou, et moi même (le serpent), débattons aujourd'hui. Enfin un vrai débat ! Et puis on en connait un rayon sur ces choses là... Il faut bien le dire, nous sommes les meilleurs... Vous avez de la chance de nous écoutez...

Alors bonne écoute !!



Super mario kart 17/20



J’enfourche aujourd’hui mon clavier pour la première fois dans le but de vous présenter l’un des jeux qui a marqué mon enfance, et qui continue de rythmer certaines de mes journées. Ce jeu est pour beaucoup d’entre nous celui qui symbolise le fun à l’état pur, celui autour duquel nous avons passé des soirées entières à se tirer dessus à grand coup de carapaces rouges et autres peaux de bananes. Ce jeu mes amis, vous l’avez tous deviné, c’est Super Mario Kart. Je m’en vais vous en faire une critique perso comme seuls les scribes de Bowser en seraient capables. Nous sommes en 1992, Nintendo est sur le devant de la scène grâce à l’explosion de sa Super Nintendo et de ses chefs d’œuvres (orchestrés par Maître Shingeru Miyamoto) tels que Super Mario World ou encore Zelda 3. Pourtant, le monde du jeu vidéo s’apprête à recevoir une bombe cosmique qui va révolutionner le concept des parties multi-joueurs, ainsi que celui des jeux de courses. Car l’une des raisons pour laquelle SMK a bouleversé les gamers de l’époque, c’est qu’il a radicalement démocratisé tout ce qui se faisaient jusqu’à lors en matière de simulation de course automobile. Ici, point de ferrari, formule 1 ou même de pilote humain : le concept proposé par Nintendo est de contrôler les personnages phares de la firme (Mario, Luigi, DK, Peach, Toad, etc…) dans des courses endiablées, en tentant d’atteindre les autres concurrents grâce à des projectiles plus incongrus les uns que les autres. En effet, point de balles ou de roquettes, ces dernières sont troquées contres des peaux de bananes, des carapaces de tortues et même des éclairs ! Que du bonheur j’vous dis… Les pistes sont elles aussi atypiques puisque le jeu vous permettra de conduire votre kart sur du béton, de la terre, du sable, de l’eau et même de la glace ! Ce qui fut jouissif également fut de voir Mario par exemple, tirer sans vergogne sur sa bien-aimée Peach, pour laquelle rappelons-le, il traverse tous les dangers dans chacune de ses aventures. SMK, c’est une remise à 0 de tout ce qui fut établis, un nouveau départ pour le jeu vidéo. On nous sert sur un plateau d’argent de l’amusement, et nous l’acceptons sans poser de question. Cependant, comme nous allons le voir, cela ne veut pas pour autant dire que ce jeu ne propose pas de véritables challenges pour les hardcore gamer, bien au contraire.

Avant de commencer une partie, le joueur peut choisir entre 3 puissances de kart : 50cc, 100cc, et 150cc, augmentant également par ce choix la difficulté des courses puisque vos adversaires seront de plus en plus coriaces. Plusieurs modes de jeu s’offrent à nous. Le premier est le mode Championnat, mode somme toute classique dans lequel vous engrangez des points à la fin de chaque course, jusqu’au podium final. Jouable à 2, ce mode est le plus célèbre de SMK, vous entrainant dans des joutes endiablées contre les protagonistes dirigés par l’ordinateur mais aussi contre votre petit frère, assis à côté de vous, avec qui vous pourrez accepter de vous allier le temps d’un tour ou au contraire trahir les liens de sang qui vous unissent pour le pulvériser sans état d’âme ! Le deuxième mode est celui du duel, dans lequel vous serez face-à-face avec votre petit frère, donc sans concurrent pour vous gêner. Ce mode reste pour moi le moins fun du jeu, bien qu’il permette tout de même de régler ses comptes avec ceux qui sortent des excuses bidons durant les championnats, du genre : « Ouais mais si j’avais pas pris cette peau de banane au dernier tour jt’aurai doublé !! ». Ici, pas d’excuse ! Troisième mode : le Battle Mode ! Rien à voir avec les 2 précédents, car cette fois-ci  le but ne sera plus de terminer premier d’une course mais de crever les trois ballons volants au dessus de la tête de trois autres protagonistes, le tout dans des arènes fermées. Egalement jouable à 2, bien pensé et plutôt marrant, ce mode est un exutoire qui permet de se défouler après quelques courses stressantes. Enfin le dernier mode et non des moindres, celui réservé aux durs de durs qui en ont dans le slibard : le Time Trial Mode. Les hardcore gamers vont pouvoir s’en donner à cœur joie pour pulvériser leur chronomètre sur chacune des courses du jeu. Un seul objectif : rouler le plus vite possible, mais sans cadeau bonus ! Seul le « Skill » compte. Encore de nos jours, après plus de 18ans, des personnes du monde entier continuent d’enregistrer leur record afin de les poster sur le net et ainsi se comparer aux autres mordus du jeu de course le plus délirant de la sphère vidéoludique. Votre humble serviteur lui-même s’est adonné à ce passe-temps, véritable absorbeur de vie sociale, des heures entières. Cependant le Time Trial ne représente pas le seul challenge à relever de SMK. Sachez que la difficulté sera au rendez-vous (comme dans beaucoup de jeux de la vieille époque) si vous désirez finir premier de toutes les courses du championnat en 150cc.


 Image 1 : La jouabilité change radicalement selon le terrain pratiqué.

Image 2 : Victoire de mario à un championnat, mais aussi victoire de Nintendo à l’époque.

Image 3 : Yoshi en plein dérapage sur la course arc en ciel, sans nul doute la plus ardue.




Car oui, le gameplay de SMK ne se dompte pas si facilement. Des soirées d’entraînement, suant corps et âme vous seront requit afin de maîtriser toutes les subtilités du jeu, telle que l’utilisation des boutons L et R, servant à sauter puis à déraper. Une grande part d’adresse vous sera également demandée dans l’utilisation des différents bonus. Si la carapace rouge est à tête chercheuse, la verte au contraire a une trajectoire rectiligne. Vous devrez donc anticiper les mouvements et changements de directions de vos adversaires pour faire mouche. Concernant les bonus, on déplore le fait que certains personnages, lorsqu’ils sont contrôlés par l’ordinateur, puissent se servir de projectiles qui ne sont pas mit à la disposition du joueur. A titre d’exemple, la Princesse Peach peut envoyer des champignons qui font rétrécir, ou encore Yoshi peut envoyer des œufs (dégueulasse il vient juste de les pondre…) ayant les même caractéristiques que les carapaces rouges. Du côté graphique c’est encore une fois du grand art : on s’émerveille de chaque détail des paysages, des animations et de la modélisation des personnages. Tout est parfaitement dans l’esprit Nintendo. Le mode 7 utilisé à cette époque permet de matérialiser une 3D qui pour l’époque impressionne et convainc totalement. Les musiques quant à elles sont en totale harmonie avec l’ambiance du jeu. Chaque circuit se déroulant dans un univers unique, la bande sonore varie du tout au tout. Durant un même championnat, vous passerez par exemple du circuit de la maison hantée dans lequel la bande sonore morbide vous donnera des frissons d’effroi, au Château de Bowser, rythmé par un thème proche du hard rock. Rien que de vous écrire ce petit test les amis, j’ai le générique du jeu dans la tête ! Vous l’aurez compris, grâce à ses multiples modes de jeu, la possibilité de jouer à deux (vous savez, avec votre petit frère), et un aspect hardcore insoupçonné de prime abord, la durée de vie de SMK ne se compte pas en heures mais plutôt en années. Certes vous parviendrez à le terminer à 100% au prix de certains efforts, mais vous ne résisterez pas à la tentation de ressortir la bonne vieille SNES de temps en temps pour une partie, seul ou entre amis. 

Si je devais formuler des critiques sur ce jeu, ces dernières trouveraient leurs origines dans les améliorations qu’a apportées Nintendo aux successeurs de SMK. En effet, lorsque l’on a gouté aux Mario Kart de la N64, de la Gamecube ou encore de la Wii, on ne peut que regretter le fait de ne pas pouvoir jouer à 4, de ne pas avoir plus de bonus ou encore de ne pas pouvoir jouer online. Cependant ce jeu a un certain charme, surement car il a laissé une trace indélébile dans les cœurs de nombreux joueurs, mais aussi par son gameplay sans faille. Son problème de nos jours est qu’il a été dépassé par ses suites. Par conséquent un joueur qui ne l’aurait pas connu à l’époque de sa sortie sur Snes aurait du mal à s’immergé dans son univers, selon moi. Pour les autres, ceux qui en ont rêvé la nuit lorsqu’il n’y avait que la Super Nintendo ou la Mégadrive dans le salon, pour eux, Super Mario Kart restera pour toujours le jeu fun par excellence. Un mythe.

Les +                                                                                     Les -
                                                                           
-Son pouvoir de réunir des amis devant une télé,           -Le mode multi joueurs limité à 2
leur faisant perdre la notion du temps.                             -Souffre de sa concurrence avec
-Graphismes et bande son au Top.                                 suites. Difficilement « rétrogamable ».
-Gameplay qui rallie les néophytes du genre, 
tout comme les hardcore gamers à la recherche de 
nouveaux challenges.
-Sa durée de vie quasi illimitée 


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mercredi 12 mai 2010

L'interview de la semaine : mouchou et les jeux de combat


Suite de notre petit tour de l'équipe, cet interview nous amène à mieux connaitre mouchou. Grand spécialiste des jeux vidéo, véritable encyclopédie vivante, nous allons découvrir pourquoi l'intéressé aime  tant les jeux de baston. Il leur voue presque un véritable culte, et pas seulement à street fighter.

Rien ne sert de cerner ce fabuleux personnage qui n'aime pas gear of war et qui nous le fait savoir ! J'espère que sa personnalité vous plaira autant qu'à moi.

A savoir que cette émission se place en plein dans notre période de réussite^^, à savoir la diffusion sur www.podradio.fr
J'invite tout le monde à aller jeter un coup d'œil et je vous dit bonne écoute!








mardi 11 mai 2010

La fièvre des point : Round 2

Et voilà la seconde question un peu facile encore, profitez en, car cela ne va vraiment pas durée ! Héhé

Comment s'appelle la principale console oubliée de Bandai ?

Tout est sur le site encore une fois, une petit conseil, écoutez nos émission... En même temps, je dis ça, je dis rien... La réponse se fait dans les commentaires, comme d'habitude.... à la Claude François...

C'est bon je sors

Fallout 3 19/20



A l’approche du nouveau Fallout qui, rappelons le, est prévus pour sortir en fin d'année 2010, il nous est parus nécessaire de vous présenter son prédécesseur sur PlayStation 3. Fallout 3 a fait son apparition sur nos consoles le 30 octobre 2008 pour le bonheur de millions de fan de cette série qui au départ n'étais réserver qu'au possesseur de PC.

Dans ce nouvel opus, nous retrouvons tout ce qui à fait la renommé de ces prédécesseurs, c'est à dire un monde post apocalyptique truffé de vilains qui n'hésiterons pas à jouer de leurs jolies fusils a pompes ou autres pistolets mitrailleurs pour mettre fin a vos jour sur ce monde austère. Vous débuterez votre aventure dans la peau d'un nourrisson, homme ou femme comme bon vous semble, habitant dans un abri souterrain bien loin du monde extérieur. Vous avez donc la possibilité de personnaliser votre personnage et de lui attribuer des points de compétences comme par exemple le crochetage de serrure. Les fans seront donc en terrain connus car Bethesda Softworks applique la recette qui tant marché sur les précédents volumes. Pour l'heure, vous êtes devenu un adulte endurcis, et vous décidez de sortir de l'abri afin de retrouver votre père disparu dans ce monde ravagé par un conflit nucléaire. Vous partirez sur ces traces, et vous interrogerez toutes les personnes susceptibles de l'avoir rencontrer. Voila pour la trame principale qui, si vous décidez de ne vous en tenir qu'a elle seule, n'est guerre passionnante ni très longue. Dans Fallout 3 chaque action que vous déciderez engendrera des incidences sur votre renommée. En effet vous pouvez décider de tuer qui bon vous semble pour le voler ensuite. Vous pouvez également faire les poches de personnages que vous rencontrerez ou vous introduire chez eux pour les voler également. Bien sur l'inverse est possible aussi. Le gros intérêt de ce soft réside dans ces quêtes annexes, qui s'avèrent être très nombreuses et variées, mais également l'exploration de la carte qui s'avère être immense. Sachez donc que cette dernière s'explore a pied, et que vous pourrez choisir de la visité par la surface (fortement conseillé) soit par les anciens tunnels du métro, qui regorgent également de monstres et trésors en tout genre. Le petit plus et pas des moindre est qu'une fois visiter une ville ou un métro peut être rejoint par le biais d'un système de téléportation qui vous évitera de vous refaire tout le cheminement déjà parcourus à pied. Egalement à savoir,  le bestiaire reste classique et ont retrouvent les supers mutants, les goules et autres raiders.



 





 Image 1 : Le fameux système VATS

Image 2 : Le jeu peut parfois être très sanglant... Interdit au moins de 18 ans

Image 3 : Vous ne le voyez peut être pas, mais ici, l'interaction est partout







Graphiquement Fallout 3 n'est pas le plus beau jeu de la PlayStation 3 ou XBox 360 mais il conserve cette ambiance propre à la série. La ou il pêche en revanche, c'est au niveau de l'animation des personnages qui s'avère, a mon sens indigne, des consoles next generation. Le jeu propose deux vues, une à la 1ère et l'autre à la 3eme personne (qui s'avère injouable, donc jouer à la première personne). Malgré ce petit défaut Fallout 3 reste tout de même très prenant et vous fera passer de longues heures devant votre écran de télévision. Ensuite, le jeu en lui même fait parti de la catégorie des RPG, en effet, tout au long du jeu et des cadavres laisser derrière, votre niveau progressera et vous pourrez attribuer des points de compétences à votre personnage afin d'augmenter ces capitées comme par exemple le nombre de poids que celui-ci peut porter sur son dos. Sur ce nouvel opus, les développeurs ont intégrée un nouveau système nommé V.A.T.S qui vous permet de bloquez l'action quand un monstre vous attaque et de viser les parties que vous souhaitez touchez. Un système qui s'avère très facile d'utilisation et qui vous facilitera la vie, notamment face au super mutant. Sinon, cela reste du classique, à la FPS c'est à dire grosse séance de burinage. Dans Fallout 3 vous aurez également le choix entre plusieurs armes. Vous pourrez choisir de vous battre au couteau ou alors vous pourrez décider de vous servir d'un fusil à plasma en passant par les grenades ou autres fusils d'assaut chinois. Tout cela bien entendu à votre convenance et surtout aux capacités que vous aurez développées dans votre partie.

Bref Fallout 3, à mon sens, est un des jeux les plus complets du marché, vous y passerez certainement de très longues heures de jeux, sans compter qu'actuellement vous pouvez vous le dégotez pour a peine 20 euros. A ce prix la je vous conseil de lui sauter dessus, d’autant plus que des contenus téléchargeable ont vus le jour sur le network, ou à l'achat en magasin dans la réédition du jeu. Donc en attendant le prochain volet de la série faites vous plaisir et succombez donc à fallout 3, je suis persuadé que vous ne le regretterez pas.

Les +                                                                             Les -
-Monde immense                                                         -Quête principale assez banale
-Musique immersive                                                     -Animations ridicules
-Interaction à chaque moment                                       -Absence de véhicules
-Quêtes annexes intéressantes et variées
-Les DLC
-le système VATS bien pensé
-Durée de vie colossale


lundi 10 mai 2010

Franck Jaeger : rédacteur, chroniqueur

 
Que peut-on trouver dans ta collection de gamer fou ? Beaucoup de vieilleries, de l’amstrad en passant par la snes ou la megadrive. Mais aussi les consoles nouvelles générations. Si je devais résumer ma collection, je dirais que je possède en réalité beaucoup de consoles mais peu de jeux. Ces derniers se résument aux grands classiques des RPG, ou d’autres jeux célèbres tels que les MGS.


Comment es-tu tombé dans les jeux vidéo et depuis quand ?
Mon grand frère m’a fait jouer très tôt à la nes et supernes (vers mes 5ans). Mais le vrai choc s’est produit avec FF7, la première véritable addiction à un jeu vidéo. Depuis je joue asses régulièrement à toutes sortes de jeux.

Quelle est ton jeu préférée ? Peut-on avoir un jeu préféré ? Comme je l’ai dis précédemment cela restera toujours FF7. Je pense bien sur que l’on peut avoir un jeu préféré, au même titre qu’un film ou une musique.

Quelle est ta plateforme préférée ?
A l’heure actuelle la wii. Toutes générations de consoles confondues, j’opterais surement pour la ps1… choix difficile… joker !

Quelle est ton style de jeu préféré ?
  RPG, meme si en ce moment je joue pas mal aux FPS.

Quel est ton Graal ? (le jeu que tu ne trouve pas!)   Il n’y a pas un jeu que je cherche en particulier. Cependant, j’aimerais bien mettre la main un jour sur des jeux tels que radiant silvergun (shoot them up sur saturn), qui coûte très cher mais qui est réputé comme étant le meilleur de sa catégorie.

Pourquoi rédiger sur le-serpent-retrogamer ?
Je pense que c’est intéressant de pouvoir partager les passions que l’on a en commun avec les gens de la France entière.