mardi 29 décembre 2009

Final Fantasy IX 19/20

Dernier Final Fantasy de la playstation 1 sorti en 2001, cet épisode à la lourde tâche d'être le succeseur du magistral Final Fantasy VIII. Cet opus est très agréable à jouer, haut en couleur et surtout très "enfantin", en effet le 3/4 des personnages sont des adolescents par rapport aux autres FF plus matures!!! les dialogues sont un peu niais par rapport à ce que l'on connaît mais cela reste un grand jeu, décryptage!!
 
Coté scénario, nous sommes dans la peau de Djidane Tribal jeune voleur qui fait partie d'une confrérie d'intermitent du spectacle. Sa troupe, les tantalas et lui font un spectacle au palais royal de la reine Branet, reine d'Alexandrie. Le but de Djidane et de kidnapper la princesse Grenat Di Alexandros. De là se dérouleront des péripéties passionnantes magistralement orchestré par Squaresoft. Ce scénario teinté d'innoncence, d'humour et de bonne humeur raviront les fans. Hélas malgré la bonne volonté et leur talent cet épisode restera impopulaire auprés des fans de RPG en général, même si les personnages sont attachants et hauts en couleur ils n'ont pas le charisme d'un Squall, d'un Cloud ou d'un Séphiroth! C'est est dommage puisque ce jeu est une merveille vidéoludique et la narration est bien mis en valeur. Parlons du Gameplay maintenant, il se présente de la même manière que FF 7 et FF 8, les combats aléatoires et scénarisés sont animés par la jauge ATB (Active Time Battle). Une fois cette jauge  rempli le personnage peut attaquer comme pour les deux précédents. La seule nouveauté et qu'un quatrième personnage fait son apparitionau lieu de 3 à l'ancienne, un retour aux sources en quelque sorte. Le système d'évolution est de compétences est assez clair pour que le joueur s'y retrouve, à travers des compétence à acquérir lié aux équipements en somme que du bonheur! La bande son est signé par le grand Nobuo Uematsu. Les musiques sont donc magnifiques et nous font parvenir des émotions, de la musique dynamiques des combats au thème mélancolique FF 9 ne laisse pas les oreilles indifférentes. La bande son est somptueuse! Cioté durée de vie, il faut compter à peut prés 50h ou plus pour la quête principale, avec les quêtes annexes on atteint les 100h. Les quêtes secondaires sont passionnantes et riches en bonus, donc on ne pas passerà côté. Mais un peu trop facile en comparaison des autres FF, il fallait arriver au Nv 100 pour battre le boss de fin mais la un Nv 50 voir moins suffit pour mettre le dit boss de fin à terre!! donc une difficulté mal ajustée tantôt dur dans certain comabat tantôt facile mais je vous rassure cela ne gache pas le plaisir.

Ce jeu m'a été offert par mon meilleur ami Thibault le jour de mon anniversaire de 16 ans. Ce fut le 1er FF auquel j'ai jouer puisque la saga ne m'intérressait pas du tout, disons qu'à l'époque j'étais un gros bourrin (quoique ça n'a pas trop changer!!). Depuis ce cadeau de mon ami Thibault je ne lache plus FF j'adore cette saga.

Rien ne sert ici de faire plus dans l'explication, c'est du Final Fantasy. Nous avons ici un trés bon FF 9 impopulaire puisque le manque de profondeur, le manque de charisme des personnages et leur niaiseries peuvent rebuter les fans de RPG. Mais pour les puristes bercés au FF c'est un jeu magnifique qui n'arrive pas à la cheville de FF 7 et FF 8 pour autant. A travers ce jeu nous nous appercevont que ce FF à été fait avec passion et amour. Un trés bon jeu à conseillé pour les fans du genre.

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Encore une petite précision, cet article fut rédigé par Yann, un souci informatique lui empêchant de publier en son nom. 

Ratchet and Clank : Opération destruction 16/20



Voici une série made in Sony. Une histoire commencée sur la PlayStation seconde du nom et qui se poursuit encore et toujours. Un duo attachant qui, lorsqu’il rentre dans l’antre de notre console, n’en ressort avant de soufflé son dernier souffle, avant d’avoir terminé le jeu. Sorti en 2007, Ratchet and Clank est le premier de la série à sortir sur console next-gen, sur PlayStation 3. Premier d’une longue série d’ailleurs. Il faut d’emblée signaler que cet opus se passe dans la pure lignée de ses ainés, un jeu de plateforme simple mais efficace, avec un caché particulier si propre à notre duo de classe. On incarne toujours Ratchet le Lombax hargneux, qui à sur son dos le robot Clank, si attachant et qui découvrira, dans cette épisode, ses origines si mystérieuses. Quel joie aussi de retrouver tout les protagonistes qui ont fait le succès de la série, le capitaine Quark en tête, ce vrai-faux super héros, pseudo sauver intergalactique ! Une vie perle humoristique.



Ce qui prime dans ce nouvel opus, et comme dans les autres en fait, c’est bien le gameplay. Dès la première mission, l’atmosphère se fait sentir et la magie opère, on s’envole à bord d’une mtot volante et on fini par s’écraser. Directement projeté dans le feu de l’action, les scènes s’enchainent et le répit n’est pas présent. Une vraie ambiance hollywoodienne se fait sentir, qui s’essouffle malheureusement au cœur de l’aventure pour reprendre de plus belle à la fin du jeu. Au niveau des mécanismes proprement parlés, une clé, d’abord base du jeu, une sorte de masse qui sert à tuer les mobs. Bien plus, elle sert aussi à effectuer toute sorte d’action contextuelle dans le cadre de la plate forme, attraper une corde pour se balancer par exemple. A coté de cette clé, un arsenal plus que complet, et c’est bien cela qui fait l’originalité de toute la série. Du fusil à plasma, à la grenade toute simple, en passant par le lance tornade, rien n’est laissé au hasard. Même des objets plus farfelus les uns que les autres sont de la partie, la boule à facette qui fait danser les ennemis pour les mettre hors d’état de nuire est représentative ! Une vrai perle de gameplay qui ne fait pas l’ombre aux autres qualités du soft, graphiquement rien à dire, c’est propre et la distance d’affichage rend bien de la puissance du moteur mis en application. Mais rien d’exceptionnel au niveau du level design en lui-même et tout fait vraiment « PS2 », du beau PS2 malgré tout. On ne peut pas en vouloir pour autant à Insomniac Game, car ce fut un des premiers jeux de la console, qui s’est surtout aligné sur la norme HD plus qu’elle n’a vraiment développé un style graphique plus réaliste, qui n’est pas du tout l’orientation visuelle de la série. Un réussite donc qui prouve que le photoréalisme n’est pas le seul aboutissement des graphismes vidéoludiques. Mais un des points fort de cette version réside bien dans la bande son, déjà fort excellent dans les précédentes versions, mais au sommet dans celle ci. Des musiques bien alignées sur l’action, bien qu’elle ne soi pas mémorable, c’est l’inverse pour les dialogue, plus inspiré que jamais ! Un humour omniprésent, servi par des acteurs (préteurs de voix) de qualité, et en très bonne adéquation avec les personnages. Rien ne sert ici de faire un dialogue, il faut y jouer pour comprendre de quoi je parle. Y jouer aussi pour découvrir le scénario, assez plat somme toute. Il faut sauver la galaxie, comme d’habitude… mais une petite subtilité qui mettra à mal notre duo de choc est de mise. Chuttttt suspense ! L’aventure se termine en ligne droite en 15h environ, c’est assez long pour le genre, d’autant que le jeu n’est dénué de difficulté, même en mode normal. Pour découvrir tout les secrets, on peut facilement rajouter 10 heures, donc 25 heures de jeux, une durée plus qu’honorable, d’autant que le jeux est actuellement en gamme platinium, 25 heure pour 30 euros foncez !

Il ne sert cependant à rien de faire un test de ratchet and clank, c’est une série qui s’essouffle, qui peine à proposer de nouvelles innovations mis à part au niveau de l’arsenal. Cela reste cependant un épisode de qualité, de très haute qualité même. Certain peuvent pester contre cette non évolution, et d’autre peuvent s’avérer heureux de voir leur série rester fidèle à elle-même.

J’ai eu ce jeu en novembre 2008, lorsque j’ai eu ma PlayStation 3, à mon anniversaire de la part de mes parents. Rien à redire ce fut un beau cadeau, mais non une surprise, mais ce n’est pas grave ! Alors un conseil, si vous ne connaissez pas la série, et que vous aimez la plateforme (il faut reconnaitre que la PS3 n’est pas très fourni en la matière), ce jeu est fait pour vous.

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lundi 21 décembre 2009

Runaway 17/20



Runaway est un jeu méconnu du grand public, un drame me direz-vous ? Et bien oui s’en est un. Un énorme même. Comment ignorer ce jeu sorti en 2005 et qui a ravivé la flamme des point and click de la première moitié des années 1990. Digne successeur de monkey island, cette licence de pendulo studio, tout jeune studio de développement Espagnol, est un vrai chef d’œuvre.

Brian Basco, un jeune étudiant tout à fait ordinaire, bien que brillant, sort avec sa nouvelle voiture, et part inadvertance, renverse une jeune femme streap-teaseuse, Gina Timmins. Un accident de bonne augure puisqu’il nous propulse dans une aventure inoubliable. La force de ce jeu ne réside pas dans son gameplay somme toute assez classique pour le genre. Ramasser des objets, les combiner dans son inventaire, les utiliser sur le décor, etc… Malgré ce classicisme de départ, le jeu se démarque par une certaine propension au « n’importe quoi », c’est d’abord en cela qu’il est le digne héritier des monkey island et autre full throttle. Qui aurait pensé à fabriquer une mitrailleuse avec des clous et la faire utiliser par deux draqueens vraiment loufoque ? Des énigmes tordus qui en rebutent plus d’un, mais n’est-ce pas la le charme de ce jeu, pour moi, c’est évident. Malgré tout, cet aspect reste caché par la vrai arme du jeu qui réside en fait dans la bande son. Véritable chef d’œuvre, les répliques sont tout aussi recherchées les une que les autres, on va du « mince je n’arrive pas à crocheter cette porte, j’aurais du plus jouer à Oblivion ou demander conseil à Sam fisher » au « celui qui joue me demande vraiment de faire n’importe quoi » !! Hilarant sur le moment, d’autant qu’on ne s’y attend vraiment pas ! Les musiques aussi ont été composées de manière à coller le plus possible à la situation. Tantôt triste, tantôt complètement décalé, ces compositions on la particularité de reprendre toujours le même thème, interprété par Veronica Dominguez, en le remixant. Une idée somme toute banale, mais on ressort de l’aventure de Runaway avec ce fameux thème dans la tête. L’aspect graphique n’est pas non plus en reste. Pendulo studio nous offre un magnifique rendu 2D des décors, et les personnages, modélisés en 3d, s’y intègre parfaitement. L’animation est plus qu’excellente pour un jeu du genre, malgré quelques bugs de collisions, mais vraiment rien qui ne bride le plaisir de jeu. La diversité est aussi au rendez vous, on passe des rues lugubres de New York, au désert du Nevada, en passant par un village abandonné tout droit sorti du far west ! Grandiose, et oui c’est vraiment le mot qui ressort de ce jeu.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin, est c’est bien là le défaut de Runaway, les bonnes choses finissent trop vite. Le jeu se découpe en 6 chapitre, 1h30 environ pour chaque chapitre est nécessaire. Certes, c’est une durée de vie plus qu’honorable mais, compte tenu du niveau global du jeu, on aurait pu s’attendre à mieux. D’autant que le taux de rejouabilité est faible, dans les points and click, rare sont les jeux proposant plusieurs niveaux de difficultés ou des objets cachés. Une erreur qui ne peut pas faire oublier toutes les qualités du jeu.

Alors bilan des courses, Runaway n’est pas un jeu que l’on peut qualifier d’anthologique, car il arrive en fin de parcours d’un style de jeu déjà bien éprouvé. Il à cependant le mérite de proposer au joueur une aventure haute en couleur, avec des personnages attachant. Il ressuscite les point and click humoristique, et lorsque Yann, mon meilleur ami, m’en à fait cadeau, j’étais vraiment content. Bref pas anthologique dans les faits, mais le jeu reste une vrai merveille pour autant, à posséder dans sa ludothèque PC, surtout pour tout les fans de jeux d’aventure.

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Metal Gear Solid 4 : Guns of the patriots 18/20

Après un magistral épisode 3 où nous plongions dans le passé en incarnant le légendaire Big Boss, nous voici parachuté dans une vision du futur pas si lointaine que ça et en reprenant dans les grandes lignes (enfin presque) les aspects de notre société moderne. Hidéo Kojima nous signe un titre excellent de tout point.

Niveau scénario, nous voici plongé dans la peau d’un Solid Snake vieillissant qui part affronter son frère jumeau Liquid Snake qui semble a  pris totalement possession de Revolver Ocelot. C’est pour cela qu’on le surnomme Liquid Ocelot. Ce quatrième opus fini par délier les langues et apporte les réponses que les joueurs attendaient et ils ne seront pas déçu, puisque certain protagoniste du monde de Metal Gear Solid réapparaissent pour le plus grand plaisir des fans. Kojima nous prouvent qu’il a du talent en signant un scénario d’une complexité effrayante qui reprend les codes de notre société moderne et peut être notre futur proche. En tous cas le scénario captivant vous tiendra en haleine pendant des heures. Avec ces surprises et ces rebondissements vous n’en ressortirez pas indemne de cette aventure avec un Snake qui nous montre qu’il a toujours autant de charisme et d’héroïsme. Au niveau des graphismes Ils ne sont pas aux limites de la PS3 mais Konami nous signe un très bon jeu avec des graphismes propres, effets d’ombres, explosions, eau, profondeur d’affichage appréciable et des personnages dotés de mimiques réalistes et impressionnante qu’on en croirait presque des vrais. Chapeau bas à la combinaison Octocamo qui reprend le principe du camouflage du caméléon. Cette combinaison reproduit la structure de la matière selon ou le joueur se place le rendu en est magnifique. Niveau gameplay, c’est aussi le pied ! Beaucoup d’action à réaliser mais le petit joueur du dimanche sera s’y retrouver entre roulade, plaquage au mur, ramper, le CQC et tirer. Le jeu s’agrémente d’idées tout simplement géniales comme par exemple faire des roulades en position « ramper », tirer des grenades en étant sur le dos ou encore se cacher dans un baril pour le faire rouler. Effet vomito garanti ! Mais je vous rassure ce ne sont pas les seules idées de Konami, à vous de prendre le pad et de vous s’amusez pour en découvrir les subtilités. Côté armement on est servi, il y a du lourd dans cet opus en passant du simple pistolet au monstrueux canon à rampe, le jeu s’agrémente de fusil d’assaut, fusil à pompe, mitrailleuse, lance roquettes et j’en passe tellement le choix est vaste. Pour les armes un système « d’armurerie » à été conçu un armurier du nom de Drebin vous débloque vos armes verrouillées ramassés sur le champ contre des Drebin’s point une sorte de monnaie du jeu. Il y sera même question d’upgrader vos armes par exemple en rajoutant une lampe torche, un viseur et plein d’autres objet. Pas très réaliste mais très pratique ! En somme nous avons la un exemple en matière de Gameplay. La Bande son correspond à un pur moment pour les oreilles, les musiques sont signées Harry Gregson-Williams talentueux musicien qui a signé les musiques de blockbusters américains est qui fait parti de l’équipe de Konami depuis Metal Gear Solid 2 : Sons of liberty. Ce compositeur nous fait passer depuis MGS2 des émotions en fonction des personnages, même les musiques dites « d’ascenseur » ont un rythme assez entraînant et parfois il nous arrive à fredonner un air en y repensant. Dans le 4 Harry s’est surpassé en nous offrant des musiques endiablés  triste comme le thème « Old Snake » thème de Solid Snake dans le jeu. A travers cette mélodie on arrive à percevoir  des émotions à travers le personnage sublime. Une bande son magistrale un conseil achetez la BO du jeu elle vaut le coup. Pour finir, niveau durée de vie, une bonne quinzaine d’heure pour l’histoire principale cela varie en fonction de la difficulté et du niveau du joueur. Les bonus à trouver pour compléter le jeu, ainsi le jeu en ligne où on peut rejoindre une communauté à travers des batailles entre joueurs. Même le jeu en ligne dispose d’un  contenu appréciable, et puis notons que c’est un plaisir de rejouer à ce jeu rien que pour son scénario passionnant. Une très bonne durée de vie et une bonne rejouabilité, donc un achat rentabilisé 

Mais alors pourquoi ce jeu ? Est-ce un jeu d’anthologie ? Oui le jeu l’est assurément, la bande son contribue à l’aspect épique, les graphismes contribuent au réalisme et le scénario qui donne la touche finale avec des moments clefs et des personnages charismatiques, ce mélange fait qu’on a là un jeu d’une ampleur phénoménale que l’on ne rangera pas dans un tiroir pour l’oublier. Ce jeu marquera la saga magistralement mis en scène par Hidéo Kojima et sa superbe équipe. Mes amis vous avez un chef d’œuvre à vous procurez si vous ne le possédez pas. Foncez les yeux fermés !

La passion oblige je me devais acheter ce jeu puisque j'ai commencer a jouer au 1er je l'ai adorer et naturellement j'ai suivi la suite des épisodes passionnats donc evidemment je l'ai acheter et je ne pouvais pas passer a coté.

Cet article fit rédigé par Yann, mais compte tenu d'un problème il est publié en mon nom. C'est à lui que doivent être faite les louanges pour ce bel article! 

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vendredi 4 décembre 2009

Castle of illusion : starring mickey mouse 17/20

Mickey mouse, qui n'aime pas ce petit personnage? La petite souris de disney toute mignonne que tout le monde connais. Celle à la voix si spéciale qu'elle se reconnait parmi tant d'autres. Cette souris est aujourd'hui la star de cet article. En effet, c'est en 1990, que sorti castle of illusion starring of mickey mouse, un jeux de plateforme sur la toute jeune megadrive, et accéssoirement, sans être l'objet de l'analyse de l'article, sur master system et game gear. Et oui!! il y a presque vingt ans! Et autant le dire tout de suite, ce jeu fait parti des indémodable.

Une licence reprenant un Disney, attention méfiance! Tout le monde se souvient de ces médiocres adaptation, de tout temps, et sur tout support. Mais comme ce fut souvent au temps des consoles 8 et 16 bits (je pense notamment à duck tales), les Disney sont de véritables chefs d'œuvres, faisant hommage à leur parent du 7ème art. Rien de très passionnant pourtant au départ. Une histoire bien plus que bateau bien que dans la lignée de ce qui se faisait à l'époque, et adapté à la sauce Disney. Lors d'une magestieuse danse mêlant mickey et son dulcinée minie, la méchante sorcière surgis et enlève la belle minie! Bouhh ça fait peur!! L'histoire commence alors! Une petite lacune de scénarion bancale qui cache cependant des atouts exceptionnel!

La beauté du titre est à coupé le souffle. En 1990, alors que presque tout le monde est tourné vers la Nes et vers les super mario, c'est une claque visuel que nous assigne castel of illusion. Fort de sa console 16 bit tout nouvellement commercialisé, les textures sont variée, les niveaux colorés et les animation assez fluide. Aevc se jeu, on sort enfin des niveaux très stéréotypée, où se succède plaine, montagne, désert, neige... On se détache en fait de Mario bros et de cela en tout point! Alors qu'il faut toujours sauter sur l'ennemi pour le tuer, il faut aussi activé une deuxième fois la touche de saut pour que mickey se mette en position à tuer son adversaire. C'est bête mais bien penser, donnant un second souffle à une style, la plateforme, dont on croyé avoir à peu près fait le tour. le bestiaire est aussi extrêmement varié et on passe des champignon, au soldat de plomb sans aucun problème. Il est aussi des choses à ne pas négliger dans un jeu vidéo, dont la bande son, et pour ainsi dire, elle est purement est simplement grandiose. Non pas dans des thèmes symphonique dont la console n'aurait de toute façon pas pu retranscrire, mais dans le fait que les musiques reste dans la tête après avoir éteint la console et c'est bien la tout le mérite des anciens jeux! Elle m'en a même fait oublier les chansonnettes de Mario Bros (l'espace d'un moment seulement tout de même^^). Bref tout est réuni pour en faire un jeu inoubliable. Un assez gros bémol surgit cependant, et il concerne la durée de vie. Il semble que castel of illusion se place dans deux sphère en même temps, celle du jeu qui doit se finir d'un trait et donc où l'on enregistre pas et qu'il faut recommencer du début à chaque mort. De ce fait le jeu en devient long. Mais d'un autre coté, le jeu appartient aussi à ces jeux bien plus accessible ou l'on donne la possibilité au joueur d'utiliser plusieurs "continu", et ou la difficulté n'est franchement pas très élevé. Cela donne donc un jeu relativement court, pour ma part, et pour la 1ère fois que je l'ai fini, il ne m'a fallu qu'une heure pour en voir la fin d'une traite et sans chercher de bonus. La durée de vie dans ce cas là avoisinerait les 3 heures, plus honorable pour l'époque. Ce jeu n'en reste cependant pas un jeu grandiose qui a sa place dans le panthéon des jeux vidéo.

J'étais tout petit lorsque j'eu vu ce jeu pour la première fois, mais dans une chance inouïe, une ami à moi possédait une megadrive avec ce jeu et m'a offert le tout pour mon anniversaire. J'ai donc pu, 19 ans après, enfin pu en venir à bout. Je conseil sincèrement ce jeu à tout les possesseurs de megadrive, figurant dans le top 10 des hits de cette console qui fut en fait, et malheuresement, le seul véritable succès de Sega

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