jeudi 29 avril 2010

The legend of Zelda : Ocarina of time 19/20

 Et un autre jeu de légende, un ! Et pas des moindre car il s’agit de The legend of Zelda : Ocarina of time, un des meilleurs jeux de tout les temps, voir LE meilleur si l’on fait la moyenne des notes élaboré par la presse. Cet épisode et le 4ème de la magnifique saga des Zelda et c’est après 4 ans de développement qu’il nous est livré. Sorti le 11 décembre 1998 sur Nintendo 64, il marqua tout une génération de joueur tant son gameplay, ses graphisme, et tout le reste finalement, furent novateur. Nintendo nous donne une bonne leçon et une grosse claque en termes d’action-aventure

La claque d’abord vient de l’aspect graphique : véritable bijou technologique, la N64 nous prouve qu’il faut compter sur elle pour livrer des jeux époustouflant. Mêlant 2D pré-calculé et 3D de manière hasardeuse, la puissance graphique s’exprime dès la première sortie de Link, dans le village Kokiri, et mis à part quelques intérieurs, tout le reste du jeu et entièrement modélisé en 3D. Plus que les personnages, finalement assez grossier (dans la veine de ce qui pouvait se faire), c’est la qualité des décors qui nous saute aux yeux. Et comme à sont habitude, Link nous fait voir du pays et c’est avec non sans regret que nous devons quitter la forêt, la montagne, ou le lac (pour le pas spoiler). Mais ce n’est pas tout ! Et une fois la claque graphique prise en pleine figure, c’est la claque sonore qui nous achève. Les musique sont incroyablement bien mixées et rendent parfaitement l’atmosphère « épique », d’un Zelda digne de ce nom. D’autant que le soft s’imprègne de cet aspect musical en proposant un gameplay grandement basé sur la musique, avec des airs à jouer à l’aide d’un Ocarina. Je ne vous en dis pas plus, mais sachez que vous n’allez pas rester longtemps sans une autre claque, et là, je vous assure qu’il va être difficile de se relever. Je parle bien entendu des possibilités énormes qui s’offre à nous, un gameplay très riche autrement dit. Tout d’abord la maniabilité est exemplaire, une marque de fabrique chez Nintendo. Rien de plus facile que d’enchainer esquive, coup d’épée, puis sortir sont arc pour attaquer à distance. Toute les touches du pad sont intelligemment misent à contribution. Question gameplay en temps que tel, c’est la aussi du grand art, avec une multitude d’armes secondaire à acquérir pour avancer dans l’aventure. Le système des Zelda n’est pas renouvelé, mais est amélioré par un tour de passe-passe que seul Shigeru Miyamoto (aussi créateur de Mario) a le secret, un voyage dans le temps. En effet vous pourrez à la fois jouer Link enfant, mais aussi Link adulte. Et en plus de constituer un élément à par entière du scénario, ce passage permet de renouveler considérablement le gameplay, avec de nouvelles armes, de nouveau endroit inaccessibles, etc… Le scénario justement, considéré par certain comme le point faible du jeu, n’en reste pas moins de qualité en mon sens. Ce dernier mêle à la fois simplicité (il faut sauver le monde et la princesse Zelda) et complexité (notamment de part l’immense espace de jeu à disposition). Il n’en reste que le jeu traine une naïveté, certes critiquable, mais faisant la spécificité de la série Zelda. Par contre, peu d’innovation sont à dégager au niveau de l’évolution de l’histoire, nous avons en fait à faire à une succession de donjons, plus dépaysant les uns que les autres, et dont les mécanismes sont sensiblement différents d’un à l’autre (rien à voir entre le temple du désert et celui de l’eau). Ce classicisme qui peut en rebuter plus d’un trouve sa parade dans une multitude de quêtes annexes. Tuer les 100 skulltula d’or, avoir tout les cœurs, et tout ce qu’il peut y avoir à coté (la quête des masques par exemple) peu vous occuper pendant longtemps. Une durée de vie d’ailleurs hallucinante pour ce style de jeu à l’époque, qui ne sera d’ailleurs égalé par l’épisode suivant, Majora’s mask. Il faut compter 35-40 heures pour finir le jeu de fond en comble. Et ce n’est pas rien !

 









    

Image 1 : les bouton en haut à droite correspondent tous à une action précise
Image 2 : Un link version finale, jeu fini à 100%
Image 3 : Ganondorf le grand méchant, porteur lui aussi de la triforce

Mais que retenir de négatif de ce fabuleux jeu ? Vraiment pas grand-chose. On pourrait lui reprocher quelques quêtes annexes peu originales, surtout les quêtes dites de « récolte », celle des skulltula d’or et des cœurs. Peut être aussi un choix, volontaire qui plus est, de ne pas renouveler le système d’évolution de jeu et le monde. Il faut trouver des choses alors… J’essaye !
 
Au final, The legend of Zelda s’impose comme un modèle du genre, une véritable épopée comme seul Miyamoto à le secret, et si quelques aspects, que dis-je si un ou deux aspect selon les personnes, peuvent rebuter,  il faut savoir passer outre pour se laisser guidé dans un monde merveilleux. Fées et elfes se côtoient, les arbres parles, les Gorons sont de vrai brute attachantes et les Zoras un peuple noble. Il y en a pour tout les gouts, et un conseil, juste un seul, foncez dans une brocante, ou sur internet pour vous procurer ce jeu. A l’heure actuelle, et dans le genre action-aventure, aucun autre soft n’a pu me procurer autant de sensation, et je défi quiconque de ressortir déçu de ce voyage inoubliable. Le meilleur de toute la série Zelda ! Merci Nintendo !

Les +                                                                      Les -
 
-Graphismes époustouflants                               -Quêtes de "récolte" peu intéressante         
-Bande son inoubliable                                        -Scénario à la Zelda, donc du déjà vu         
-Temps de jeu énorme
-Monde grandiose
-Voyage dans le temps
-Maniabilité exemplaire







mercredi 28 avril 2010

L'interview de la semaine : FFring.com

Final Fantasy, en voilà une bien belle de série mythique, et qui de mieux pour en parler qu'un spécialiste ? Aujourd'hui, vous allez écouter une interview de Bastien, fondateur du site FFring.com, dont je conseil d'ailleurs la visite immédiate^^.
Comme à notre habitude, nous allons parler de son site, mais pas que, puisque les Final Fantasy sont à l'honneur. Petite particularité d'ailleurs, Bastien et fan de FF9 et FF12, presque les épisodes les moins appréciés de la saga, même si cela reste de très bon jeu!
Je vous laisse écouter et, pour une fois lorsque l'on parle de la série Final Fantasy, on n'évoque pas FF X-2, hourraaaaaa

mardi 27 avril 2010

L'équipe : Kratos, rédacteur, chroniqueur

Kratos
 
 
Que peut-on trouver dans ta collection de gamer fou? Beaucoup de choix: RPG, Courses, Action-Aventure, Combat de tout sauf le sport.

Comment es-tu tombé dans les jeux vidéo et depuis quand ? Je joue aux jeux vidéo depuis plus de 10 ans, et c'est en jouant à la super Nes de mon cousin que j'ai appris à connaitre les jeux vidéo.

Quelle est ton jeu préférée ? Peut-on avoir un jeu préféré ? Je croyais qu'a ce jour que MGS4 était mon soft préféré, mais là God Of War 3 l'a détroné. Moi je dit qu'on avoir un jeu qui nous à marqué donc oui.
 
Quelle est ta plateforme préférée ? Ps3.

Quelle est ton style de jeu préféré ? beat'em all

Quel est ton Graal ? (le jeu que tu ne trouve pas!) Parasite Eve 1
Pourquoi rédiger sur le-serpent-retrogamer ? Pour apporter un point de vue sur un jeu que l'on a particulierement aimé!

lundi 26 avril 2010

L'équipe : Le serpent Retrogamer, fondateur, webmasteur, correcteur, animateur

  Le serpent Retrogamer 
Que peut-on trouver dans ta collection de gamer fou ?  
Beaucoup de chose!! et C'est une collection de plus en plus grande. J'ai bien entendu les grands classiques de chaque consoles en ma possession. En l'occurrence, j'ai, pour l'instant une Nes, une Megadrive, une Super Nes, une playstation, une nintendo 64, une playstation 2, une Wii, une playstation 3. Mais ca s'aggrandit vite^^.
Pour les jeux, j'ai du Mario, du Sonic, du Zelda, du Final fantasy, du Metal Gear dont je suis surement un des plus grands fan!! Et autre classiques.
Je suis d'ailleurs en continuelle recherche de jeux! n'hésitez pas de me contacter^^.

Comment es-tu tombé dans les jeux vidéo et depuis quand ? J'étais tout petit, en 1992, soit à 4,5 ans! Mes parents m'ont acheté une master system de Sega, et le premier jeux que j'ai joué est donc Alex Kidd. S'en suit Sonic, et très vite, en 1994, j'ai eu une Nes. Depuis ce jour j'ai eu presque toutes les consoles, mais pour les financer, je revendais les consoles précédentes. Une période révolue aujourd'hui, et oui, je me rachète toute les consoles^^.

Quelle est ton jeu préférée ? Peut-on avoir un jeu préféré ? Je pense plutôt que l'on a des jeux préférés et pas un seul. Mais si je devais en choisir un, ce serait final Fantasy VII, une vrai œuvre encore d'actualité aujourd'hui. A part ça mon top 5 serait
1 = Final fantasy VII
2 = The legend of Zelda : Ocariana of time
3 = Metal gear 3 : Snake eater
4 = God of war
5 = super mario bros 3

Quelle est ta plateforme préférée ? Pour moi c'est la PS2. Un catalogue énorme, des jeux d'une grande qualités, des licences solides. Même si les autres consoles ont de grands jeux, niveau rapport quantité/qualité, la PS2 dépasse tout le monde

Quelle est ton style de jeu préféré ? RPG. Une histoire, des personnages attachants et des heures et des heures de jeux!! Même si les jeux d'infiltration et de football fotn aussi parti de mes styles préférés. 

Quel est ton Graal ? (le jeu que tu ne trouve pas!). J'en ai pas vraiment car je prends ce que je trouve à des prix raisonnables. Mais en ce moment c'est super mario world 2 : yoshi island. Introuvable ne complet à moins de 30 euros, bien trop cher pour moi. A par ça, Full throttle sur PC est aussi introuvable! (pour moi en tout cas)

Pourquoi rédiger sur le-serpent-retrogamer ?
Ayant crée ce site, j'ai voulu partager ma passion avec tout les amoureux du jeu vidéo. J'essaye de proposer des news et des tests pertinents pour avoir une autre vision du jeu vidéo. Au lieu de se focalisé sur l'aspect de forme : graphismes, musiques, etc... J'essaye de privilégier l'aspect "plaisir de jeu". Voilà^^

Le débat des gamers : quand le réseau s'invite chez vous

Et voilà un nouveau débat sur un sujet plutôt actuel, les jeux en réseau. Grâce à la dernière génération de console, les développeurs nous propose de partager notre expérience vidéo-ludique avec des personnes du monde entier. Les FPS, jeux de combats ou de sport, rien, ou presque, n'est laissé sur le banc de touche.
De la Super Nes (et oui!!) à la Xbox 360, un long chemin a été parcouru, et c'est Tsunanko, Malkav, Franck Jeager, Mouchou sur la fin, et moi même, le Serpent.
Et comme à notre habitude, notre monumentale Tsunanko marche à contre courant... Vous comprendrez pourquoi^^.
Bonne écoute!






mardi 20 avril 2010

Le maître de l'Olympe : Zeus 16/20


« Je ne bougerai pas d’ici tant que vous n’engagerai pas quelqu’un pour m’aider à décharger ces marchandises ! » Si ce cri vous dit quelque chose c’est que vous avez surement déjà joué à Zeus : le maître de l’Olympe ! Sinon je vais vous en dire plus sur ce jeu PC sorti en novembre 2000. C’est un jeu de stratégie SIERRA On-line développé par Impression Games. Le but est de construire sa ville dans la Grèce antique à l’époque ou les dieux se livraient querelle en utilisant les hommes. Le jeu se lance : vous devenez un Chef grec et vous avez le choix entre divers scénario reprenant de grands mythes grec, comme par exemple « les travaux d’Hercules ».

La partie commence sur un terrain vierge, un bout de route et c’est tout. Tout est à construire ! Les routes, les maisons, les fermes, les fontaines, etc… Pour cela il vous faut voir ce que vous pouvez faire, c'est-à-dire avez-vous des poissons ou des oursins à cueillir ? Ou plutôt des sangliers ? Ah rien du tout ? Ben va falloir importer alors… ce qui veut dire que non seulement il va falloir vendre votre bois mais qu’il ne faut pas trop vite construire des logements pour éviter les famines. Oui c’est complexe, il faut tout prévoir dès la construction de vos routes. Pour faire évoluer les maisons il vous faut penser à la culture et à l’esthétique de votre ville. Ce qui est génial avec ce jeu c’est que tout est lié, on apprend vraiment à gérer une ville dans son ensemble il ne faut rien négliger sous peine de voir toute votre ville vite se vider ou stagner. et bien gérer votre argent si vous avez trop de dettes vous allez être tout simplement renvoyé et remplacé, alors la partie s’arrête, comme si vous faites conquérir par une ville ennemie et que le scénario l’interdit. Des fois, le jeu est peu trop dépendant des statistiques et ça se joue vraiment au passage exact des différents métiers, mais dans l’ensemble ça reste très bien réglé. Une fois votre ville créée bien souvent il vous faudra créer une colonie pour soutenir votre ville dans le scénario. Il y a quelques bugs au niveau des conquêtes de la ville mère, c’est un peu dommage parce que ça facilite bien les échanges commerciaux et écarte les troubles militaires… mais bon ça serai trop facile !
Chaque scénario est différent et les dieux qui vous aident ou vous mènent la vie dure sont différents à chaque fois, ce qui est assez important en fait parce que dans certains cas avoir tel ou tel dieux contre ou avec vous a vraiment son importance, au-delà de l’histoire s’il vous manque des ressources, par exemple l’huile d’olive mieux vaut avoir dans son camps Athéna pour bénéficier de son oliveraie sacrée. Ou si vos caisses se vides vite parce que vous devez acheter toute vos caisses de nourriture, les gisements d’argent d’Hadès vous seront très utiles ! Les scénarios ont une durée et une difficulté variables. C’est un jeu qui demande beaucoup d’attention on n’a pas d’occasion de s’arrêter de jouer en dehors d’une nouvelle étape après avoir atteint les objectifs. Et souvent à la fin d’un scénario (quand on a «gagné ») on ne porte pas vraiment attention à la fin de l’histoire. La musique du jeu est pas mal : la musique de fond, on l’oublie très vite mais ce qui est vraiment génial ce sont les bruits de votre ville et les dialogues qui en sortent, par exemple si vous passez près d’une école de théâtre vous entendez les répétitions des étudiants et de temps en temps un habitant de la ville s’adresse à vous directement. Ce qu’ils vous disent dépend de la façon dont vous gérer la ville. C’est une très bonne indication de vos talents de gestionnaires. Le meilleur pour moi reste les livreurs en colère… ce sont vraiment eux qu’il faut surveiller ! Les clochards aussi sont énormes : « exchpulché de chez moi qu’estch que chj’ai fait pour mériter cha ? » roh cest pas beau de se moquer >_<.

Ce qui manque au jeu c’est un zoom. Des fois il assez difficile de se déplacer rapidement et de voir une plus large partie de votre ville, surtout quand il faut la défendre. Mais même si le jeu a 10 ans les graphismes n’ont pas pris une ride ! Il y a une extension "le maître de l'Atlantide : Poséidon" sortie en mai 2001, je n’ai pas encore testé cette extension mais j’avoue y penser ! Il y a pas beaucoup de scénario dans la version d’origine et j’ai bien envie de voir les plus de l’extension, je vous tiens au courant !

jeudi 8 avril 2010

Harvest moon 13/20


Harvest Moon est une série de jeux vidéos développée par Marvelous Interactive qui vous propose d'incarner un fermier. On ne dénombre pas moins de vingt-neuf versions sur différentes plateformes. La première est sortie en 1996 sur Super Nintendo, puis GBA, Playstation, Game boy color, Game Cube, Psp, Nintendo Ds... La liste est longue.

Cependant, ce premier volet sur Nintendo Ds n'offre pas de réelle nouveauté. Il s'agit simplement d'une adaptation sur une nouvelle console ; le jeu n'exploitant pas du tout les capacités de la Ds. Le but premier est de faire prospérer votre ferme mais derrière les joies de l'agriculture et de l'élevage se cachent un objectif plus important. En effet, la déesse de la moisson intervient pour vous demander de récupérer cent lutins perdus. Certains sont cachés, d'autres prisonniers dans un monde parallèle. Vous les libèrerez en accomplissant vos tâches à la ferme. Vous verrez vite que les lutins sont d'une grande utilité. Ils peuvent se substituer à votre travail : arroser, planter, récolter ou nourrir et chouchouter vos animaux. Ce jeu n'est pas pour les paresseux, en effet, votre gagne pain c'est la culture de votre lopin de terre et la récolte des produits de votre élevage. Au tout début, il est difficile de gagner de l'argent. Mais explorez la région, creusez à la mine et revendez les items que vous aurez dénichés. Le jeu se divise en quatre saisons dont chacune correspond à une gamme de fruits et légumes que vous pourrez exploiter. Hiver, printemps, été et automne. En hiver, le train train quotidien est monotone et vous ne gagnerez rien si vous n'avez pas d'animaux. En effet, la neige recouvre le terrain, toute exploitation agricole est donc impossible. Mais, il vous est possible de gagner quelques sous en revendant des herbes cueillit dans les environs. Vous me direz que le jeu est plutôt simple, que nenni. Vous avez accès à plusieurs services, comme la forge pour faire évoluer vos outils. D'abord votre arrosoir n'arrosera qu'une seule portion de terre, puis en cours d'évolution, il pourra en arroser neuf d'un coup ! Prenez rendez-vous chez Gotz le Bûcheron, il vous construira des poulaillers et des étables ou des silos. Allez vous cultiver à la bibliothèque, le monde est à vous ! Bien que votre vie se déroulera essentiellement à la ferme, vous pourrez vous balader en ville. Elle n'est pas bien grande mais fournit tout ce dont vous aurez besoin. Certains magasins n'ouvrent que selon certaines heures, jours ou saisons. Il y a aussi des événements, jours de fête et concours auxquels vous êtes convié et que vous pouvez remporter. Sur votre poste télé, vous pourrez suivre diverses émissions animées par vos amis, les lutins bienveillants. Vous pourrez consulter un télé-shopping : si l'item du jour vous intéresse, appelez la chaîne par téléphone et commandez l'article. Certains items vous permettront d'agrandir votre maison, d'avoir une cuisine pour concocter des plats et une grande chambre pour vous...et votre femme. Eh oui, vous pouvez vous marier et fonder une famille. Le chemin de l'amour est long sur Harvest Moon et se fait au bout de plusieurs années, mais on y arrive ! L'amitié ou l’amour d'une personne est mesurée par des points : les points d’amour (LP) et les points d’amitié (FP). Il y en a aussi avec vos animaux. Pour les courtiser, parlez-leur ou offrez-leur les items qui leurs plaisent
La musique correspond aux différentes saisons, elle est redondante mais rien ne vous empêche de la baisser pour vous passez un bon Radiohead ! Renseignez-vous bien avant d'acheter un Harvest Moon. Dans « Ile Sereine » (épisode d’Harvest Moon), vous pourrez choisir soit d'interpréter soit un garçon soit une fille. Pour cet opus, le stylet est un peu plus utile mais ne révolutionne pas l'univers d'Harvest Moon. Le jeu s'apparente aux Sims du fait qu'il y ait une barre d'endurance et de satiété. Ces barres doivent rester dans la mesure du possible au plus haut car si l’une ou l’autre était vide, vous vous évanouissez. La météo est également très influente sur vos cultures et les lutins n'existent pas :-( .

Depuis la sortie de la Nintendo Ds, j'ai observé une prolifération de jeux en tous genres. Dans la catégorie gestion, même si Harvest Moon n'est autre qu'une adaptation d'un jeu Game Boy Advance, il est plutôt pas mal, complet et fait passer un bon moment. On y joue longtemps, à petites doses mais régulièrement. J'aimerai vous donner plus d'informations sur le développeur car j'ai entendu parler d'une nouvelle version révolutionnaire sur Ds mais j'avoue ne rien comprendre aux kanjis... Si des bribes filtrent, je vous tiendrais au courant.


Thème principal