Et un autre jeu de légende, un ! Et pas des moindre car il s’agit de The legend of Zelda : Ocarina of time, un des meilleurs jeux de tout les temps, voir LE meilleur si l’on fait la moyenne des notes élaboré par la presse. Cet épisode et le 4ème de la magnifique saga des Zelda et c’est après 4 ans de développement qu’il nous est livré. Sorti le 11 décembre 1998 sur Nintendo 64, il marqua tout une génération de joueur tant son gameplay, ses graphisme, et tout le reste finalement, furent novateur. Nintendo nous donne une bonne leçon et une grosse claque en termes d’action-aventure
La claque d’abord vient de l’aspect graphique : véritable bijou technologique, la N64 nous prouve qu’il faut compter sur elle pour livrer des jeux époustouflant. Mêlant 2D pré-calculé et 3D de manière hasardeuse, la puissance graphique s’exprime dès la première sortie de Link, dans le village Kokiri, et mis à part quelques intérieurs, tout le reste du jeu et entièrement modélisé en 3D. Plus que les personnages, finalement assez grossier (dans la veine de ce qui pouvait se faire), c’est la qualité des décors qui nous saute aux yeux. Et comme à sont habitude, Link nous fait voir du pays et c’est avec non sans regret que nous devons quitter la forêt, la montagne, ou le lac (pour le pas spoiler). Mais ce n’est pas tout ! Et une fois la claque graphique prise en pleine figure, c’est la claque sonore qui nous achève. Les musique sont incroyablement bien mixées et rendent parfaitement l’atmosphère « épique », d’un Zelda digne de ce nom. D’autant que le soft s’imprègne de cet aspect musical en proposant un gameplay grandement basé sur la musique, avec des airs à jouer à l’aide d’un Ocarina. Je ne vous en dis pas plus, mais sachez que vous n’allez pas rester longtemps sans une autre claque, et là, je vous assure qu’il va être difficile de se relever. Je parle bien entendu des possibilités énormes qui s’offre à nous, un gameplay très riche autrement dit. Tout d’abord la maniabilité est exemplaire, une marque de fabrique chez Nintendo. Rien de plus facile que d’enchainer esquive, coup d’épée, puis sortir sont arc pour attaquer à distance. Toute les touches du pad sont intelligemment misent à contribution. Question gameplay en temps que tel, c’est la aussi du grand art, avec une multitude d’armes secondaire à acquérir pour avancer dans l’aventure. Le système des Zelda n’est pas renouvelé, mais est amélioré par un tour de passe-passe que seul Shigeru Miyamoto (aussi créateur de Mario) a le secret, un voyage dans le temps. En effet vous pourrez à la fois jouer Link enfant, mais aussi Link adulte. Et en plus de constituer un élément à par entière du scénario, ce passage permet de renouveler considérablement le gameplay, avec de nouvelles armes, de nouveau endroit inaccessibles, etc… Le scénario justement, considéré par certain comme le point faible du jeu, n’en reste pas moins de qualité en mon sens. Ce dernier mêle à la fois simplicité (il faut sauver le monde et la princesse Zelda) et complexité (notamment de part l’immense espace de jeu à disposition). Il n’en reste que le jeu traine une naïveté, certes critiquable, mais faisant la spécificité de la série Zelda. Par contre, peu d’innovation sont à dégager au niveau de l’évolution de l’histoire, nous avons en fait à faire à une succession de donjons, plus dépaysant les uns que les autres, et dont les mécanismes sont sensiblement différents d’un à l’autre (rien à voir entre le temple du désert et celui de l’eau). Ce classicisme qui peut en rebuter plus d’un trouve sa parade dans une multitude de quêtes annexes. Tuer les 100 skulltula d’or, avoir tout les cœurs, et tout ce qu’il peut y avoir à coté (la quête des masques par exemple) peu vous occuper pendant longtemps. Une durée de vie d’ailleurs hallucinante pour ce style de jeu à l’époque, qui ne sera d’ailleurs égalé par l’épisode suivant, Majora’s mask. Il faut compter 35-40 heures pour finir le jeu de fond en comble. Et ce n’est pas rien !
La claque d’abord vient de l’aspect graphique : véritable bijou technologique, la N64 nous prouve qu’il faut compter sur elle pour livrer des jeux époustouflant. Mêlant 2D pré-calculé et 3D de manière hasardeuse, la puissance graphique s’exprime dès la première sortie de Link, dans le village Kokiri, et mis à part quelques intérieurs, tout le reste du jeu et entièrement modélisé en 3D. Plus que les personnages, finalement assez grossier (dans la veine de ce qui pouvait se faire), c’est la qualité des décors qui nous saute aux yeux. Et comme à sont habitude, Link nous fait voir du pays et c’est avec non sans regret que nous devons quitter la forêt, la montagne, ou le lac (pour le pas spoiler). Mais ce n’est pas tout ! Et une fois la claque graphique prise en pleine figure, c’est la claque sonore qui nous achève. Les musique sont incroyablement bien mixées et rendent parfaitement l’atmosphère « épique », d’un Zelda digne de ce nom. D’autant que le soft s’imprègne de cet aspect musical en proposant un gameplay grandement basé sur la musique, avec des airs à jouer à l’aide d’un Ocarina. Je ne vous en dis pas plus, mais sachez que vous n’allez pas rester longtemps sans une autre claque, et là, je vous assure qu’il va être difficile de se relever. Je parle bien entendu des possibilités énormes qui s’offre à nous, un gameplay très riche autrement dit. Tout d’abord la maniabilité est exemplaire, une marque de fabrique chez Nintendo. Rien de plus facile que d’enchainer esquive, coup d’épée, puis sortir sont arc pour attaquer à distance. Toute les touches du pad sont intelligemment misent à contribution. Question gameplay en temps que tel, c’est la aussi du grand art, avec une multitude d’armes secondaire à acquérir pour avancer dans l’aventure. Le système des Zelda n’est pas renouvelé, mais est amélioré par un tour de passe-passe que seul Shigeru Miyamoto (aussi créateur de Mario) a le secret, un voyage dans le temps. En effet vous pourrez à la fois jouer Link enfant, mais aussi Link adulte. Et en plus de constituer un élément à par entière du scénario, ce passage permet de renouveler considérablement le gameplay, avec de nouvelles armes, de nouveau endroit inaccessibles, etc… Le scénario justement, considéré par certain comme le point faible du jeu, n’en reste pas moins de qualité en mon sens. Ce dernier mêle à la fois simplicité (il faut sauver le monde et la princesse Zelda) et complexité (notamment de part l’immense espace de jeu à disposition). Il n’en reste que le jeu traine une naïveté, certes critiquable, mais faisant la spécificité de la série Zelda. Par contre, peu d’innovation sont à dégager au niveau de l’évolution de l’histoire, nous avons en fait à faire à une succession de donjons, plus dépaysant les uns que les autres, et dont les mécanismes sont sensiblement différents d’un à l’autre (rien à voir entre le temple du désert et celui de l’eau). Ce classicisme qui peut en rebuter plus d’un trouve sa parade dans une multitude de quêtes annexes. Tuer les 100 skulltula d’or, avoir tout les cœurs, et tout ce qu’il peut y avoir à coté (la quête des masques par exemple) peu vous occuper pendant longtemps. Une durée de vie d’ailleurs hallucinante pour ce style de jeu à l’époque, qui ne sera d’ailleurs égalé par l’épisode suivant, Majora’s mask. Il faut compter 35-40 heures pour finir le jeu de fond en comble. Et ce n’est pas rien !
Image 1 : les bouton en haut à droite correspondent tous à une action précise
Image 2 : Un link version finale, jeu fini à 100%
Image 3 : Ganondorf le grand méchant, porteur lui aussi de la triforce
Image 2 : Un link version finale, jeu fini à 100%
Image 3 : Ganondorf le grand méchant, porteur lui aussi de la triforce
Mais que retenir de négatif de ce fabuleux jeu ? Vraiment pas grand-chose. On pourrait lui reprocher quelques quêtes annexes peu originales, surtout les quêtes dites de « récolte », celle des skulltula d’or et des cœurs. Peut être aussi un choix, volontaire qui plus est, de ne pas renouveler le système d’évolution de jeu et le monde. Il faut trouver des choses alors… J’essaye !
Au final, The legend of Zelda s’impose comme un modèle du genre, une véritable épopée comme seul Miyamoto à le secret, et si quelques aspects, que dis-je si un ou deux aspect selon les personnes, peuvent rebuter, il faut savoir passer outre pour se laisser guidé dans un monde merveilleux. Fées et elfes se côtoient, les arbres parles, les Gorons sont de vrai brute attachantes et les Zoras un peuple noble. Il y en a pour tout les gouts, et un conseil, juste un seul, foncez dans une brocante, ou sur internet pour vous procurer ce jeu. A l’heure actuelle, et dans le genre action-aventure, aucun autre soft n’a pu me procurer autant de sensation, et je défi quiconque de ressortir déçu de ce voyage inoubliable. Le meilleur de toute la série Zelda ! Merci Nintendo !
Les + Les -
Les + Les -
-Graphismes époustouflants -Quêtes de "récolte" peu intéressante
-Bande son inoubliable -Scénario à la Zelda, donc du déjà vu
-Temps de jeu énorme
-Monde grandiose
-Voyage dans le temps
-Maniabilité exemplaire
-Temps de jeu énorme
-Monde grandiose
-Voyage dans le temps
-Maniabilité exemplaire